Les dispositifs d’intéressement et de participation permettent aux entreprises qui y ont recours de motiver leurs salariés en les associant directement à la croissance et à la réussite de l’entreprise.
De plus, l’abondement (somme complémentaire aux versements volontaires des salariés) permettra à l’entreprise d’inciter ses salariés à l’épargne.
Pour l'employeur, l’épargne salariale n'est soumise qu'au forfait social, dont le taux est fixé en principe à 20 % mais peut être réduit à 16 %, voire 0 % dans certains cas.
Côté salariés, les sommes perçues, si elles sont conservées suffisamment longtemps sur un plan, ne supportent que les contributions sociales et ne sont pas soumises à l’impôt sur le revenu.
Vous voulez mettre en place un PEE-PERCO. Posez-vous les bonnes questions ! Quelle représentation du personnel avez-vous dans votre entreprise ?
Selon les cas, vous pourrez mettre en place votre PEE/PERCO avec accord du personnel ou de manière unilatérale.
Vous voulez verser à votre salarié (ou à vous-même) une prime brute chargée de € à vos salariés.
En tenant compte des charges patronales (45%), de la CSG/CRDS (9,7%), des cotisations salariales (15%), et des impôts sur le revenu (14% en moyenne), la prime perçue nette d'impôt au final est de seulement €.
Cependant, si vous offrez à votre salarié une prime moins importante mais vous l’invitez à la verser sur son PEE, vous pourrez compléter la somme d’un abondement au taux qui vous conviendra (et avec un plafond que vous pouvez définir) et ainsi offrir un vrai effet de levier à vos employés !
Par exemple, en versant % des € de prime, soit € à votre salarié, il peut ainsi investir le montant net perçu de € sur son PEE.
Ensuite, vous pouvez abonder ce versement de € , et vous acquittez du forfait social de 20% seulement sur cet abondement et votre salarié uniquement de la CSG/CRDS (9,7%). Au final, cela vous coûte €, et votre salarié obtient €.